Vincent Daignault
Le cœur de Vincent a subitement cessé de battre en 2011
Le 10 mars 2011, Vincent Daignault avait 44 ans, quatre enfants et un agenda bien garni. Ce matin-là, après être allé reconduire ses enfants à l’école, il laisse sa voiture au stationnement et marche quelques coins de rue pour se rendre à son bureau. Une fois à l’intérieur de l’édifice du 1000 de la Gauchetière, à Montréal, il ressent un malaise, d’abord dans les jambes, puis dans la poitrine, puis un resserrement dans la gorge, se souvient-il.
Il décide alors de retourner chez lui, se reposer. « Mais avant même d’avoir pu quitter l’édifice, je me suis effondré. Mon cœur venait d’arrêter de battre », souffle-t-il.
Rapidement, il est pris en charge par les membres de la sécurité qui pratiquent aussitôt les manœuvres de réanimation cardio-respiratoire (RCR) avant d’utiliser le défibrillateur externe automatisé (DEA). « J’ai été très chanceux parce que l’édifice venait juste de faire l’acquisition d’un DEA deux mois plus tôt et de compléter la formation des employés », souligne-t-il, une pratique dont Cœur + AVC fait la promotion dans tous les endroits publics.
Après ce matin fatidique du 10 mars 2011, Vincent Daignault a dû passer près d’une semaine à l’hôpital, dont trois jours plongé dans un coma artificiel pour stabiliser son état, reposer son cœur et réduire les risques de séquelles au cerveau.
Un an plus tard Vincent était de retour au travail, sans séquelles intellectuelles, simplement heureux d’être en vie. Son corps fonctionne aujourd’hui à 80 % de ses capacités d’avant, puisque ce matin-là, un tiers de son cœur est mort. « Je m’appelle Vincent Daignault et je suis la preuve vivante que donner à PartenaireSanté fait la différence ».
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