louise laviolette

Louise Laviolette

Voici Louise Laviolette. Louise a reçu un nouveau rein suite à la maladie polykystique des reins.

Quand son diagnostic de maladie polykystique des reins est tombé, Louise Laviolette n’a pas été surprise. Quelques années plus tôt son père avait reçu le même diagnostic. « J’étais donc extrêmement bien renseignée sur ma maladie et surtout sur l’importance de la prévention », explique-t-elle.

Immédiatement, elle entreprend un suivi serré en néphrologie, ce qui lui permet d’étirer la santé de ses reins pendant plus de 20 ans avant que n’apparaissent les premiers signes évidents d’insuffisance rénale terminale. « J’ai ensuite dû me résigner et entreprendre une dialyse péritonéale nocturne à domicile. Comme ça se faisait la nuit ça me permettait d’avoir une vie active, de garder mon travail et d’être en forme chaque matin. Je ne voulais pas me laisser dominer par ma maladie ».

Pourtant, après 3 1/2 ans de ce régime, Louise est épuisée. « Mon corps était très fatigué, la dialyse ne suffisait plus, je perdais beaucoup de poids et je n’avais plus d’appétit. J’étais en état de survie », souffle-t-elle.

« La Fondation canadienne du rein est pour moi une source inépuisable de renseignements et de ressources. Son rôle en matière de recherche et de promotion du don d’organes est d’une importance capitale »

Louise Laviolette

C’est à ce moment que la nouvelle tant attendue arrive enfin: un rein est disponible pour elle. Euphorique, elle ne peut s’empêcher d’avoir une pensée profonde pour cette famille qui s’apprête à lui sauver la vie.

Elle apprend également que ce rein qui lui est destiné a été prélevé non pas sur une personne en état de mort cérébrale, mais plutôt après un arrêt cardiaque. « Il y a cinq ans ces reins n’étaient pas disponibles pour des greffes. La recherche a permis de constater qu’une fois revascularisés et bien installés dans un corps, ces reins peuvent revivre et avoir la même efficacité que d’autres reins ».

Aujourd’hui activement impliquée comme bénévole auprès de la Fondation, Louise rêve au jour où toute la population sera sensibilisée au don d’organes. « Je m’appelle Louise Laviolette et je suis la preuve vivante que donner à PartenaireSanté-Québec fait la différence ».

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