Alain Garceau
Voici Alain Garceau. Alain vit avec la maladie de Parkinson.
Le combat d’Alain Garceau avec la maladie de Parkinson a débuté en janvier 2004. « J’étais en voyage de ski et lors d’une descente, je fige, incapable d’effectuer des virages. Je dois descendre par une piste de débutant… que m’arrive-t-il ? J’ai toujours été un skieur de pentes extrêmes », relate-t-il.
Quelques mois et tests plus tard, le diagnostic tombe: Alain est atteint de la maladie de Parkinson. Le temps s’arrête. Comment cette maladie va-t-elle affecter sa vie et celle de sa famille? « Je suis père de trois jeunes garçons, un père qui n’est plus capable de bouger et qui tombe partout », illustre-t-il.
Débute alors une période sombre de la vie d’Alain où prendre une simple marche devient difficile, où mettre un pied devant l’autre lui demande toute sa concentration. « Je me sens comme un ordinateur dont le disque dur est gelé. Le cerveau veut faire un mouvement, mais le corps ne répond pas ». Incapable de jouer avec ses enfants, Alain n’a plus de force ni de mobilité. « La maladie de Parkinson, c’est beaucoup plus que des tremblements. Dans mon cas c’est la perte de motricité, des raideurs, de la lenteur et des pertes d’équilibre », énumère-t-il.
Grâce à la médication, Alain retrouve peu à peu sa motricité et se remet à marcher puis à faire du vélo. Depuis 10 ans, sa médication a été modifiée et ajustée à plusieurs reprises pour mieux contrôler et limiter les effets secondaires. Alain a quitté son emploi il y a bientôt 3 ans.
« Aujourd’hui je peux vous dire que le Parkinson a changé nos vies. Ma famille a appris à vivre avec ma maladie et à mon rythme. Je m’appelle Alain Garceau et je suis la preuve vivante que donner à PartenaireSanté-Québec fait la différence ».
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